mardi 4 octobre 2011

De l'eau pour les éléphants

Bonjour ! Voila une semaine que je n'ai pas écrit de critique. Me Revoici avec un film qui sort de mes habitudes, DE L'EAU POUR LES ELEPHANTS, de Francis Lawrence, le réalisateur du psychédélique Constantine et du médiocre Je suis une légende.




Titre : De l'eau pour les éléphants
Réalisation : Francis Lawrence
Acteurs : Robert Pattinson, Reese Witherspoon, Christoph Waltz, Paul Schneider, Jim Norton, Hal Holbrook, Ken Foree...
Année de sortie : 2011
Genre : Drame

Synopsis : Dans l'Amérique des années 30, Jacob est embauché comme vétérinaire dans un cirque itinérant. Il va y découvrir un univers où le rêve et le danger cohabitent, et tomber sous le charme de la belle écuyère Marlène. Les deux jeunes gens vont vivre une histoire d'amour impossible, sous les yeux d'August, l'inquiétant mari de Marlène et redoutable directeur du cirque.

Infos utiles : DE L'EAU POUR LES ÉLÉPHANTS est adapté du roman éponyme de Sara Gruen. Rosie, l'éléphant présent dans le film avait déjà "joué" dans Un éléphant sur les bras et Le livre de la jungle - Le film.

Ma critique : En voyant Robert Pattinson (Saga Twilight, Remember me) en tête d'affiche, je ne fus pas intéressé par ce film lors de sa sortie. Je l'ai pourtant regardé et ai constater qu'il était comme je me l'étais imaginé. DE L'EAU POUR LES ÉLÉPHANTS est, certes une histoire se déroulant dans le passé, mais rendu beaucoup trop en conte de fée. On sent que la production y contribue. Le film garde une construction classique des films cernés par la production. Il ne renouvelle en rien les films romantiques. Dans le seul but de satisfaire un grands public et éviter la censure ou la banalisation "moins de 12 ans", le film dispose de faibles effets. On devine la fin et tout le déroulement du film dès les premières minutes. La fin est d'ailleurs improbable et tourne le film en plus ridicule qu'il ne soit. Pour ce qui est du casting, on retrouve un Robert Pattinson, je vous l'accorde, pas si mauvais, Reese Witherspoon (La revanche d'une blonde, Walk the line), sans véritable talent d'actrice ni de physique intéressant dans le contexte historique et le talentueux Christoph Waltz, dont on se demande d'ailleurs ce qu'il fait dans ce film, qui a ici un jeu plat tandis qu'il nous avait montré son incroyable talent dans Inglorious basterds (de Quentin Tarantino) et The Green hornet (de Michel Gondry). La reconstitution de l'époque est recherchée mais malheureusement pas crédible car tout est propret et semble faux. A ma grande surprise, j'ai reconnu dans le film de Francis Lawrence deux acteurs connus pour les amateurs affirmés de films d'horreurs, qui ont de petits rôles ici, Ken Foree, connus pour son génialissime rôle dans Zombie (de George Romero) et The Devil's rejects (de Rob Zombie), qui est très crédible dans cet univers de cirque, et un acteur dont j'ai malheureusement pas trouvé le nom, qui joue un des employés du patron, avec Ken Foree, qui a lui aussi joué dans des films d'horreur, comme Halloween 2 de Rob Zombie. Le film dispose d'une qualité d'image plutôt appréciable. La musique est cependant trop présente et est seulement composé de violon criards à la limite du supportable. DE L'EAU POUR LES ÉLÉPHANTS reste tout de même un film divertissant.


De gauche à droite, Christoph Waltz, Robert Pattinson, Reese Witherspoon


LES BANDES ANNONCES DE FILMS

La bande annonce de film est un outil cinématographique indispensable utilisé depuis les années 1910. Les bandes annonces sont généralement d'une construction classique mais certaines innovent, et il faut savoir les discerner. Voici une petite sélection de bandes-annonces incroyable. Je vous invite à aller sur la page facebook de mon site (http://www.facebook.com/pages/LHmovies-Critiques-de-films/260949390605018) pour en découvrir d'autres et participer au vote de la meilleure bande annonce !

Animal kingdom, de David Michôd :

Bande annonce Trainspotting, de Danny Boyle :
Cette scène ne fait pas partie du film et a été tournée seulement pour la bande annonce.

Le lauréat, de mike Nichols :

The killer inside me, de Michael Winterbotom :

Massacre à la tronçonneuse, de Tobe Hooper :

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